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Découvrez le guide complet du sissy squat : technique, bienfaits, erreurs à éviter et programme jambes.
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Le sissy squat est l’un des exercices les plus efficaces pour muscler les quadriceps sans matériel. Longtemps réservé aux bodybuilders, il fait aujourd’hui son grand retour dans les programmes modernes de musculation et de fitness. Cet exercice cible précisément l’avant des cuisses tout en sollicitant la stabilité et le gainage du tronc.
Que vous soyez sportif amateur, pratiquant assidu ou coach professionnel, voici le guide complet du sissy squat : son origine, sa technique, ses bénéfices, ses erreurs à éviter, ainsi que des conseils d’intégration dans votre programme d’entraînement.
Le sissy squat est un exercice de musculation au poids du corps destiné à renforcer les quadriceps. Le mouvement consiste à maintenir le buste droit tout en laissant les genoux s’avancer vers l’avant, ce qui crée une tension continue sur les muscles de l’avant des cuisses.
Cette position inhabituelle isole fortement les quadriceps, offrant une brûlure musculaire rapide et une progression visible à court terme.
Origine du nom : Le terme “sissy” provient du jargon du bodybuilding des années 70. Loin d’être péjoratif, il était utilisé sur le ton de la provocation : cet exercice est redoutable, réservé à ceux capables d’endurer une véritable brûlure musculaire.
Muscles sollicités : quadriceps (droit fémoral, vaste médial et latéral), gainage abdominal, muscles stabilisateurs des chevilles et du dos.
Le sissy squat n’est pas seulement un exercice esthétique. Il améliore aussi la posture, la mobilité et la coordination. Voici ses principaux atouts :
Astuce AZEOO : si la mobilité de vos chevilles est limitée, placez une petite cale sous vos talons. Cela facilitera la descente et optimisera l’alignement du mouvement.
Le sissy squat et le squat classique sont deux exercices efficaces, mais leurs objectifs diffèrent.
Différences notables :
Conclusion : ces deux mouvements ne s’opposent pas. Les combiner dans un programme permet d’obtenir à la fois volume, définition et équilibre musculaire.
Avant d’exécuter cet exercice, assurez-vous d’avoir une bonne mobilité de cheville, une stabilité correcte et une posture contrôlée. Voici la méthode détaillée :
Conseils pros :
Erreurs courantes :
Le sissy squat s’adresse principalement aux pratiquants intermédiaires à avancés, disposant d’un bon contrôle postural.
Idéal pour :
À éviter si :
Alternative douce : commencez avec des sissy squats partiels ou assistés avant de réaliser la version complète.
Pour maximiser le développement des jambes, voici une routine simple mais efficace incluant le sissy squat :
Répétez le circuit 3 à 4 fois. Cette combinaison permet un travail complet : puissance, stabilité et endurance musculaire.
Variante : ajoutez un exercice de gainage (planche ou hollow hold) pour renforcer la sangle abdominale entre les séries.
Le sissy squat fait-il mal aux genoux ?
Seulement en cas de mauvaise exécution ou de manque de mobilité. Échauffez toujours vos genoux avant de commencer et ne forcez pas l’amplitude.
Peut-on faire du sissy squat tous les jours ?
Non. Les quadriceps ont besoin de récupération. 1 à 2 séances par semaine suffisent.
Le sissy squat sollicite-t-il les fessiers ?
Très peu. Cet exercice cible surtout le quadriceps, contrairement au squat classique ou au hip thrust.
Faut-il un appareil pour le sissy squat ?
Non. Vous pouvez le réaliser sans matériel, mais il existe des machines dédiées qui offrent plus de sécurité et de confort.
Combien de temps avant de voir des résultats ?
En 3 à 4 semaines d’entraînement régulier, la tonicité et la définition des cuisses s’améliorent déjà nettement.
Pour les coachs, le sissy squat est un excellent outil pédagogique. Il permet :
Avec l’application AZEOO, vous pouvez :
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